Grand Prix d’Abou Dabi et bilan de saison
il y a eu quelques dépassements, quelques émotions pour les départs de Vettel et Ricciardo…
il y a eu quelques dépassements, quelques émotions pour les départs de Vettel et Ricciardo…
C’était la meilleure course de l’année. Pour une seule raison.
On était supposé être bien excité que Max Verstappen gagne encore, parce qu’il devient le pilote de l’histoire de la F1 avec le plus de victoires dans une saison
Alonso était parti quatorzième, il remontait les rangs dans une course jusque-là extraordinaire.
Si nous reculons de quelques années, Max Verstappen nous avait convaincu de son talent explosif…
Enfin, qui n’aime pas Checo Perez ? Disons qu’on commençait vraiment à souffrir pour lui depuis quelques courses.
La course sur le circuit de Monza nous apprend cette fin de semaine que de modifier la grille de départ n’est pas une façon efficace de compenser pour le trop grand écart qui existe entre les écuries.
Le circuit Zandvoort devait nous offrir la consécration de l’homme du moment, Max Verstappen, mais il nous a surtout offert un plongeon dans le futur.
Sur le superbe circuit Spa-Francorchamps, nous avons vu défiler devant nos yeux une suite spectaculaire d’exploits et aussi de moments cocasses.
Les déboires de stratégie de Ferrari sont devenus le problème courant dont tout le monde parle.