Qui est Brandon Planck?
Brandon, le fils du pilote DIRTcar Dale «The Natural’» Planck, est un jeune ingénieur en mécanique. A 28 ans, Brandon exploite une entreprise d’amortisseurs appelé Dig Race Products qu’il partage avec Dale, son père et complice.
Tel père, tel fils
Brandon a grandi en faisant du karting puis il a évolué dans la classe Sportsman à l’âge de 15 ans pour y courir pendant deux saisons. Brandon a pris part à certaines courses en Small Modified et aussi en Gros Block avant son entrée au collège en 2010.
«Qu’as-tu fait depuis?
«J’’ai couru une seule fois au Mohawk International Raceway l’an dernier dans la deuxième voiture de Dave Thompson. C’était très amusant!»
As-tu remporté 4 victoires consécutives dans les séries DRIVR ?
«Oui, j’ai gagné deux fois dans la série DRIVR street stock puis deux fois avec les DRIVR Allstars dans les voitures UMP.»
La course au championnat, on y pense ?
«Je pense que je suis en tête pour la série d’actions de DRIVR Street, mais j’ai raté quelques-unes des courses UMP. Donc je ne pense pas être en lice pour ce championnat. J’espère que j’aurai des résultats plus forts pour me battre pour le championnat.»
La compétition est très forte!
«La compétition est très forte et c’est génial de courir avec des gars qui sont de très bons pilotes dans la vraie vie et qui utilisent également nos amortisseurs Dig comme Michael Parent, Alex Lajoie et William Racine.»
A force égale !
«Toutes ces courses sont conçues de manière fixe, donc tout le monde a une voiture de même configuration. Je suis heureux que mon père participe à mes séances d’entraînement tout au long de la semaine et qu’il m’aide à travailler sur ma ligne et ma conduite.»
Combien de temps par semaine passes-tu sur le simulateur?
«Cela dépend vraiment, car nous avons été très occupés avec les amortisseurs DIG et le travail dans l’atelier. J’essaie de courir autant que je peux. Je m’amuse beaucoup sur iRacing en compétition avec des amis et d’autres pilotes de l’industrie des courses.»
Participes-tu à d’autres courses virtuelles?
«Oui, j’aime vraiment participer à autant de courses virtuelles que possible. Depuis la situation du virus COVID-19, il y a eu beaucoup de grandes courses auxquelles j’ai tenté de me qualifier et de participer.»
On ne voit plus ton père participer aux courses iRacing ?
«Effectivement mon père a couru en iRacing, mais, malheureusement, sa coiffe des rotateurs à l’épaule est déchirée. Il lui est donc difficile de faire beaucoup de tours avec nous.»
Recréer l’atmosphère! En conclusion : Certains promoteurs continuent de servir les intérêts des pilotes qui leur renouvellent leur confiance avec des courses derrière des portes closes, des courses virtuelles qui sont là pour demeurer même s’il est clair que la vraie saison qui s’annonçait fort intéressante soit en pause forcée. En attendant on découvre le talent d’autres pilotes.