Le grand soir au Pit Stop Bar!

Vendredi à l’émission Le Pit Stop Bar tu ne voulais pas manquer ça ! C’était la fête dans le studio de 360nitro. Un trio d’enfer comme invité et amicalement appelé les moineaux : Mathieu Bardier, Bryan Cloutier et Jacques Pelletier. De plus, le tenancier Dominic Beauchesne avait un habitué du bar Luc Lalancette.

Mathieu Bardier était tout feu tout flamme, il en avait long à raconter après une première grosse saison comme pilote Sprint Crate. Au total, 28 courses sur différentes pistes, alors qu’il n’était pas habitué de rouler loin de son domicile.

Mathieu mentionne qu’habituellement, il n’a pas de problème pour faire des kilomètres pour aller aux courses même si c’est pour des finales de 25 tours. Toutefois, quand ton travail exige de faire des kilomètres durant la semaine, ça commence à faire du voyagement.

J’ai bien aimé les échanges entre Luc Lalancette et Mathieu sur les dangers de la piste de Brockville et la piste changeante de Oshweken. Selon son expérience, Mathieu mentionne que la piste d’Oshweken est pour les Sprints, car les ‘Slides Job’ sont privilégiés.

Luc explique que Mathieu sera un des pilotes à battre la saison prochaine avec toute l’expérience acquise cette saison.

Mathieu trouve que les bourses sont intéressantes, mais ne couvrent pas les toutes les dépenses. 

Une saison qui a débuté sur les chapeaux de roues avec une victoire à la piste de Brockville Ontario Speedway, sa ‘Home Track’ les samedis. Également, il a pris part à la série Action Sprint Tour avec d’excellents résultats. À partir de là, Mathieu et son chef mécanicien Guy décident de faire une course à la fois pour voir où cela les mènerait. Il revient sur un moment fort durant sa saison, c’est-à-dire l’accident à Brockville où il a détruit son Sprint. Suite à cet accident, il a repris le volant la semaine suivante avec 2 victoires. 

Un des segments de l’émission a été celui où Bryan Cloutier qui, sans malaise, explique sa conciliation familiale, travail et course. Sans détour, il nous explique que son entreprise d’excavation dans le domaine de la construction, qui a pris un envol inespéré, l’a forcé à vendre pratiquement tout son matériel de course.   

Un petit retour dans le temps, alors qu’il nous a expliqué la première fois qu’il a conduit un modifié à la piste de St-Marcel au côté d’un nommé Matt Sheppard en 2018.

Bryan mentionne que son ami Jeffrey Weare lui avait préparé un Sprint Crate pour former une équipe durant la saison 2022. Toutefois, à leur première sortie, Jeffrey a été victime d’un accident à Brockville, ce qui est venu mettre un frein à l’ardeur de ces deux pilotes.

Sans détour, la citation de Mathieu Bardier témoigne des intentions de ces deux pilotes en précisant qu’il entrevoyait une belle saison avec eux et qu’ils seraient venu mettre le trouble en Ontario.

À cette émission, on y apprend qu’à la suite de l’achat du commerce de Alain Léveillé, Jeffrey Weare sera un pilote Sportsman en 2023. 

Il faut admettre que les invités n’ont pas à payer leur consommation étant une commandite d’Artist in Residence, ce qui donne droit à des aveux cocasses entre deux bons amis. L’amitié entre Bryan et Jacques Pelletier aux courses a débuté il y a 13 ans. Jacques m’a quasiment tordu un bras pour aller courir avec lui, indique Bryan. Ils racontent leur première fois, où ils ont coursé ensemble lors d’une finale Sportsman. Après la course, les deux pilotes auraient pleuré. Jacques précise : je n’ai pas peur de le dire, j’ai pleuré, je ne suis pas gêné.  

Par ailleurs, on y apprend que Bryan Cloutier a acheté tout son équipement de course en 2015. Jacques, lui aurait dit à la blague : tu es sûr? Si tu veux te mettre dans le trouble! L’année suivante, Bryan remporte le championnat Sportsman de la piste de Drummond.

Jacques Pelletier compte 16 saisons de course sur presque toutes classes confondues, sur glace, asphalte et terre battue. Un moment cocasse lorsque Mathieu lui rappelle qu’il n’a jamais coursé en Sprint, mais qu’il a gagné plusieurs courses avec un aileron sur le toit. Jacques admet : oui, j’ai déjà coursé avec un aileron sur le toit. Je vous invite à écouter l’émission afin de savoir quel type de voiture il s’agit ?

La première course en Mod-Lite, Jacques nous raconte comment il s’est retrouvé sur le toit.

Lors de cette émission en direct, Luc envoie un message en direct à son bon ami Yannick Mathieu pour en savoir plus de cette course sur la glace alors que Jacques lui prête une voiture.

J’ai aimé l’entrée en scène de Steve Berthiaume lorsque Jacques a commencé à parler de course sur la glace et de la famille Berthiaume. On y apprend que Jacques a découvert la recette des pneus que la famille Berthiaume possédait.

Les anecdotes de son chum qui s’occupait des pneus avec un produit pour laver les planchers des vaches.

L’ajout de 50 lbs de plomb après chaque victoire lui cause des maux de tête, car cette saison-là, il a remporté 13 victoires. Pour pallier à ce règlement, l’inspecteur lui aurait proposé de lever le pied. 

Les citations de Jacques, lorsqu’il a dit : on allait aux courses pour gagner d’la petite argent, cela était important !

Que les Pro-Stock, ça se conduit comme un matelas.

Ils ont fait tellement de changements à la hauteur des Pro-Stock, qu’on n’a plus besoin de lever la voiture pour changer la ‘gear’, tu peux marcher à genoux.

Après deux accidents le même soir en Mod-Lite : J’avais l’air d’un épais indique Jacques !

Luc Lalancette raconte l’expérience de son fils Justin qui a essayé le Mod-Lite de Réjean Ouellet. Le champion des World Outlaws Rick Eckert a avoué qu’il n’est pas capable de conduire ce genre de voiture.

Mathieu fait la comparaison de conduire un Mod-Lite et un Lightning Sprint. C’est une fusée sur la glace, indique Luc. Par ailleurs, on reconnait que celui qui est champion Mod-Lite est tout un pilote.

J’ai découvert un nouveau terme : ‘garrocheux’ utilisé en course.

L’incident de course avec Yannick Ledoux qui en avait long à dire et qui s’est trompé de personne. Jacques mentionne que cette fois-là, ça tourné en drame sur Facebook. On s’est parlé après, Ledoux est un bon gars.

Bryan Cloutier annonce son retour en Sportsman la saison prochaine. St-Marcel plein temps et Drummond seulement quand il y aura des temps chronométrés. Un débat sensuit sur l’existence des temps chronométrés, tirage, inversion et passing point.

Mathieu Bardier nous explique qu’il a travaillé avec Yan Bussière pour avoir une manche de la série des Crate Action Tour. Il nous parle de la réalité des promoteurs et des pilotes ontariens. On y apprend, qu’il y aura deux divisions, Ouest et Est. Plus près de chez nous dans l’est, les pistes retenues sont Can-Am, Brighton, Brockville et Cornwall. 

Bryan Cloutier parle de son Sprint Crate dans l’optique de partir cette classe à St-Guillaume et de ses premières courses à bord de son Sprint lors du National Ohsweken. Il nous explique également, comment il s’est senti par la suite, étant utilisé comme cobaye.  

Mathieu m’a fait peur avec mon Sprint Crate durant les Warm-Up, c’est un ‘paisseu’. Il a failli me faire faire une crise cardiaque ! s’exclame Bryan.

Jacques se compare à Mathieu pour son style de conduite. J’aime mieux gagner des courses, mais ce n’est pas toujours bon, j’ai souvent fini sur le ‘Towing’. J’aurais pu facilement remporter des championnats, nous apprend-il.

Bryan mentionne : j’ai tout fait, j’ai tout essayé.

Fait cocasse de l’émission, lorsqu’ils ont parlé d’un pilote qui a voulu essayer un Mod-Lite qui à cause de sa morphologie a dû installer un siège de 4 roues, pas attaché, avec la tête qui dépassait le toit. 

Que dire de Luc Lalancette, lorsqu’il a parlé de son bon ami Bryan McDonald: Il a laissé quelques cellules en Sprint, faisant référence à ses commotions cérébrales.

Jacques m’a entrainé dans le vice, alors que j’avais 15 ou 16 ans, au dire de Bryan.

Dans les échanges, plusieurs anecdotes refont surface en racontant quelques souvenirs de jeunesse. Jacques est fier de dire : j’ai appris à la vieille école. Ç’a commencé ‘roff’. Une chance qu’il n’y avait pas de You Tube dans le temps, indique Luc.

Dans les circonstances, le rôle d’animateur de Dominic Beauchesne était secondaire avec ces 3 moineaux. Une soirée payante pour Dom. 

L’émission de Pit Stop Bar se veut une opportunité d’intéragir avec les amateurs. Plusieurs ont envoyé des messages fort intéressants, ce qui a forcé nos invités à raconter des histoires croustillantes.

J’ai retenu l’histoire du ‘pare-choc’ chromé acheté à l’encan d’Alain Boisvert et qui a été ramassé chez le père de Michel Fagnan.

La fameuse boite à caresse alors qu’ils étaient tous célibataires.

La Taverne chez Philippe alors que tu te « pisses » sur les pieds.

Histoire du 4 cylindres au club Western.

Comment Alan et Danny Johnson se sont fait mettre dehors de l’Hôtel Universel par la police alors que Luc devait faire l’interprète ?

Une Caravane de location qui s’est retrouvée à faire des ronds sur la piste de Drummond.

L’histoire de la peinture qui ne sèche pas.

La fois où Jacques s’est fait brûler les jambes alors que le Sportsman était en feu.

Jacques qui se faisait battre par une Lada.

Dominic Beauchesne qui, le même soir, animait les courses téléguidées et coursait à St-Guillaume.

Jacques qui profite de son passage en studio pour dire : donnez-moi un ‘Steering’ en Mod-Lite et je vais aller courser.

Luc Lalancette n’en revient pas de toutes ces anecdotes mentionnant : c’est la première fois que je ne parle pas dans une émission.

Jacques fait concurrence avec son Plymouth 1940 coupé devant chez lui à Pierreville.

Le saut en Ski doo de Jacques par-dessus des motoneiges.

Plusieurs ont découvert un pilote de chez nous, Renaud Croteau qui venait aux courses avec une Toyota Echo qui tirait une remorque de 16’. Luc n’en revient tout simplement pas : je suis en état de choc !

Le show de boucane de Bryan avec son Dakota Magnum sur le pont de Pierreville.

L’autobus de Denis Labonté qui a été acheté par le père de Bryan.

La virée au Bar à St-Eugène-de-Ladrière.

Est-ce que Jacques serait devenu sage depuis qu’il coach au Hockey pour des adolescents?

Saviez-vous que Jacques a déjà fait partie de l’équipe de David Hébert et Yves Dusseault ? Luc n’en revient pas en mentionnant : je suis assommé !

La première victoire Jacques avec un Mercury Tracer : J’étais énervé comme une vieille fille. Lorsque le blanc est sorti, ma suit serrait en ciboire. Luc n’en revient pas de son expression, ma suit serrait le qualifiant amicalement de malade mental.  

À la suite de sa victoire Jacques passe à l’émission le café chaud.

L’histoire des ‘exhausts’ achetés chez Luc alors que Jacques se fait interdire d’embarquer sur la piste.

Sa participation à Cornwall au lendemain d’une soirée bien arrosée alors que Luc l’invite chez lui la prochaine fois, car Jacques est devenu son héros.

Soirée Topless avec la brassière rose qui fait du chemin encore. Jacques qui se présente avec son Sportsman vert lime avec un habit et casque non réglementaire.

Voici l’émission complète: