Retour vers le Futur!

Mon expérience en Sim-Racing par Chill Audette

Tel que promis lors de ma première chronique, aujourd’hui, je vais me présenter de façon officielle à vous tous. Mais auparavant, voici les résultats de la compétition Olympiques de Gran Turismo Sport.

Trois courses ont été tenues sur des circuits originaux de Gran Turismo Sport, c’est-à-dire sur Tokyo Expressway Boucle Est, Sardegna B et Dragon Trail Littoral.

La médaille d’or est allée à l’Italien Vallerio Gallo, l’argent à l’Allemand Mikhail Hazal et le bronze au Français Baptiste Beauvois qui, après avoir remporté les deux premières épreuves, n’a pas fait mieux qu’une neuvième place à la troisième. À sa défense, il a été sorti de piste au départ par notre pilote canadien Andrew Brooks. Andrew, tant qu’à lui, a terminé en douzième place au classement général. Voilà pour les résultats des premiers Olympiques de Gran Turismo.

Et maintenant, mon CV en Sim-Racing. Je joue à ce genre de jeu vidéo, le Sim-Racing, depuis un peu plus que vingt ans. Je joue, premièrement, pour m’amuser, mais avec le temps, j’ai découvert les compétitions et aussi la diffusion. Mon premier jeu de Sim-Racing fut F1 Championship Season 2000 avec nul autre que Jacques Villeneuve sur la photo de couverture.

Ensuite, ce fut au tour de Grand Prix 4. Un autre jeu de Formule 1 très évolué pour l’époque en 2002.

Au même moment, j’ai découvert Grand Prix Legends. Les plus vieux d’entre nous qui ont eu la chance de jouer à ce jeu l’ont adoré, j’en suis persuadé.

On peut retrouver les mêmes sensations, ou presque, avec les vieilles F1 dans le jeu Project Cars II aujourd’hui. Ensuite, ce fut l’entrée de la Play Station 2 dans ma vie. Évidemment, j’ai découvert Gran Turismo. J’ai commencé par le GT3 et tous les autres, par la suite, jusqu’à GT Sport aujourd’hui sur la PS4. J’ai eu un coup de cœur pour Gran Turismo 4. Les circuits dans ce jeu étaient tout simplement fabuleux.

J’ai continué à jouer seul me croyant très fort. Nous le pensions tous avant de se croiser en ligne. C’est à ce moment que quelqu’un m’a présenté GT Championnat Québec (GTCQ). Merci à Nicolas Boutin qui m’a amené dans cette belle communauté.

À la GTCQ, j’ai découvert le monde des médias avec les diffusions. J’ai eu une première chronique que plusieurs doivent connaître, Le Duo de la Semaine. J’y faisais des tests de voitures avec mes commentaires et je leur donnais des notes. J’ai adoré faire ça.

Par la suite, sont arrivées les diffusions de courses de notre Championnat ainsi que des courses de championnat Européen, tel La Mégane Trophy Chalenge.

Par la suite, l’Express GTCQ est apparu. Je suis un des co-animateurs de cet hebdomadaire sur la chaine GTCQ-TV durant la saison. C’est un résumé des courses de la semaine du Championnat de nos 5, et bientôt 6, divisions ainsi que de notre Académie. Il y a aussi un volet entrevue, à l’émission, que j’ai le privilège de faire. Nous avons eu la chance de recevoir Bertrand Godin, Marc-Antoine Camirand pour ne nommer que ceux-là. C’est ainsi qu’est arrivé 360Nitro. Alors me voilà ici, aujourd’hui, avec cette chronique sur le Sim-Racing. Je vous parlerai de semaine en semaine de l’envers du décor de la simulation. Pas beaucoup de résultat de courses, mais surtout le côté technique du Sim-Racing, que ce soit l’équipement, les diverses communautés, les compagnies qui fabriquent cet équipement. Je ferai aussi des critiques sur différents jeux de simulation. Bref, je parlerai de tout ce qui pourrait intéresser les Sim Racers comme moi.

Sur ce, bonne semaine à tous. Et n’oubliez pas, si vous voulez rouler vite, n’allez pas dans la rue. Allez vous défouler avec un jeu vidéo.

À la prochaine.  Chill

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