LE GP3R REPREND SON PROGRAMME ENVIRONNEMENTAL GP3VERT

APRÈS UN RETOUR EN PISTE FRUCTUEUX, LE GP3R REPREND SON PROGRAMME ENVIRONNEMENTAL GP3VERT SUR LES CHAPEAUX DE ROUES

Cette nouvelle collaboration avec le groupe VegÉcolo ajoute un nouveau pan aux actions environnementales du Grand Prix. Les restes récupérés suite au service par les traiteurs dans les loges Corporatives, Privilège et Hospitalité ont été transformés en fertilisant qui remplace des engrais chimiques en culture. Fait à noter, grâce à la collaboration des équipes du Complexe Laviolette et de Paul Piché Traiteur, seulement 10 % des matières récupérées étaient contaminées d’éléments non-compostables.  

« Comme les pilotes et les équipes qui travaillent d’arrache-pied pour s’améliorer en piste année après année, l’équipe du GP3R a profité de la pause pandémique pour imaginer de nouvelles façons de réduire son empreinte environnementale, se réjouit Dominic Fugère, directeur général du GP3R. Bien entendu, en plus de ces nouveautés, nous voulions nous assurer de garder nos bonnes habitudes. C’est pourquoi nous plantons encore 200 végétaux cette année pour compenser le carbone émis par nos voitures et motos en piste en 2019. »

Évidemment, au-delà des restes, il arrive invariablement dans un événement de l’ampleur du GP3R que trop d’aliments soient préparés pour le nombre de convives présents. C’est ainsi que les portions préparées en surplus par les traiteurs ont été envoyées à l’organisme Escouade Itinérance qui a pu servir 200 repas tout à fait gratuitement. L’impact sur l’environnement de ces récupérations est quand même significatif si l’on considère que si les pertes et le gaspillage alimentaire étaient un pays, ce serait le troisième émetteur de gaz à effets de serre dans le monde après la Chine et les États-Unis. 

Retour en formule réduite mais engagement environnemental entier


Même si le retour du GP3R s’est fait en formule réduite en 2021 – sans la venue de concurrents de l’étranger et avec moins de voitures en piste ce qui a réduit considérablement les émissions de carbone – l’organisation s’est engagée à faire quand même planter 200 végétaux par la Coopérative de solidarité Arbre-Évolution le printemps prochain.  

« Les effets de la pandémie ont réduit d’emblée les émissions de gaz à effet de serre mais nous maintenons notre engagement et, grâce à la collaboration d’Arbre-Évolution, nous savons que ces végétaux seront entretenus pendant les 50 prochaines années et qu’ils agrémenteront les milieux de vie des Trifluviens pendant qu’ils captureront le carbone émis lors notre édition 2021, ajoute M. Fugère. »

En plus de réduire le volume de matières résiduelles envoyées à l’enfouissement et de compenser les gaz à effet de serre émis par les activités en piste, le GP3R continue d’explorer des façons d’utiliser sa plate-forme d’innovation et de visibilité afin d’explorer et faire connaître des technologies qui réduisent l’impact environnemental de la mobilité et de l’organisation d’événements notamment avec l’utilisation de biocarburants et d’énergies carboneutres tant pour le montage du circuit et du site, le transport des équipiers et, bien évidemment, pour les compétition mises en valeur en piste. 

Le GP3R tient à remercier madame Chantal Couturier, directrice, et toute son équipe de l’École Chavigny, monsieur Martin Montambeault et le comité directeur du Domaine Scout, les équipes de Paul Piché Traiteur et du Complexe Laviolette ainsi que l’accompagnement du groupe VegÉcolo et de la Coop Arbre-Évolution pour leur collaboration.

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