Quelques nouvelles importantes circulent actuellement pour la saison 2024 lors d’une conférence téléphonique avec les équipes et les propriétaires pour discuter de la prochaine saison.

En lien avec l’article de mon collègue François Richard sur le nouveau PDG de NASCAR Canada, qui devrait être présenté la semaine prochaine (Alan Labrosse), la série subirait un changement de nom en 2024. Avec les difficultés actuelles chez Olymel, notamment la fermeture des usines à Vallée Jonction en décembre et à Princeville, entraînant malheureusement des pertes d’emploi, Pinty’s ne serait pas de retour en tant que commanditaire majeur de la série.

Qui pourrait être le remplaçant ? À l’heure où j’écris ces lignes, aucun sponsor majeur n’a été confirmé, mais le nom qui circule en rumeur dans les coulisses serait celui d’Evirum. Cette entreprise, spécialisée dans le traitement écoresponsable des matières résiduelles, est apparue la saison dernière en tant que partenaire et commanditaire de quelques bolides. Ce nom est l’une des rumeurs les plus fortes en ce moment. Le calendrier devrait être publié dans quelques jours, et je pense que NASCAR annoncera plusieurs choses lors du lancement du calendrier 2024.

Calendrier 2024 : quelques changements.

Concernant le calendrier 2024, quelques modifications et nouveautés sont à prévoir. Tout d’abord, comme l’a mentionné mon collègue, Edmonton et la tournée dans l’Ouest seront de retour, tout comme Antigonish.

En ce qui concerne les courses sur terre battue, la série retourne à Ohsweken, mais cette fois-ci, pour une seule soirée, et Granby ne serait pas dans les plans de la série. La grande nouveauté serait la conclusion de la saison 2024 du côté de Montmagny, ce qui serait excellent pour cette piste et marquerait surtout le respect de NASCAR envers la personne qui a toujours continuer à croire en eux au Québec, Howard Romanado. J’ai hâte de voir la réaction des équipes de l’Ontario avec un PDG québécois et une fin de saison au Québec…

Et s’il fallait réduire le nombre d’épreuves en Ontario, eh bien, on verra !»