En premier lieu, j’aimerais spécifier que cet article n’est pas à tourner le couteau encore plus dans la plaie, mon intention, en ce texte, est de spéculer des idées pour un futur prochain à l’autodrome. Évidemment, plusieurs d’entre vous s’inquiètent sur le sujet, qui va prendre possession du circuit de terre battue. La question se pose très bien, lançons-nous dans les possibilités qui pourront survenir dans les prochains mois.
La réponse idéale avant tout est Yan Bussière, il doit en être la seule personne à s’acquérir les terrains de l’autodrome Drummond, car après le promoteur du temps Jacques Lambert, Yan Bussière est celui à qui l’autodrome Drummond lui colle à la peau et qui lui a rendu ses lettres de noblesse.
Mais si Yan Bussière ne peut pas malheureusement s’en acquérir, qui peut avoir les poches profondes pour mettre la main dessus.
Dominic Lussier et son groupe d’investisseur?
Simple questionnement lancé dans les airs, mais va-t-on voir le promoteur de l’autodrome Granby et St-Marcel prendre le contrôle des pistes de la province ? Si oui, ça serait fort intéressant, mais reste que c’est un investissement risqué et avec tout le respect que j’ai pour Dominic Lussier, le monopole des circuits québécois, est-ce vraiment une bonne chose pour les courses ?
La famille Lavergne ?
Pourrions-nous voir la famille Lavergne surprendre les gens et prendre possession du circuit drummondvillois ? Ce serait une surprise pour ma part, mais cela reste tout de même une possibilité. D’ailleurs les relations entre la famille Lavergne et Bussière sont excellentes
Les promoteurs de BSL ou St-Guillaume ?
Pourquoi pas une association avec les promoteurs de BSL ou St-Guillaume ?
Sachant le prestige qui augmente à St-Guillaume, pourra-t-on voir une certaine association avec des entrepreneurs prendre possession ? Drummondville est tout un circuit, l’occasion serait idéale pour ces propriétaires.
Dans les pires scénarios
La ville de Drummondville.
Elle qui pourrait venir jouer les trouble-fête…
En effet, un des pires scénarios serait de voir la ville acheter la propriété, sachez que celle-ci est de loin admirative des courses de terre battue, quoique l’autodrome Drummond est un emblème de la ville et que ça rapporte des revenus à la ville assurément. Néanmoins, la ville met des bâtons dans les roues du promoteur Yan Bussières, notamment, avec l’instauration du couvre-feu à 23hres suite aux plaintes des citoyens peu coopératifs.
Un entrepreneur immobilier ?
En effet, un entrepreneur immobilier qui y voit un potentiel de faire du « CASH » avec les terrains ce n’est pas à cacher, c’est la plus grande menace pour le futur des courses à l’autodrome Drummond. Avec l’innovation des quartiers résidentiels aux côtés de la piste qui sont en pleine croissance dans leur développement urbain, un entrepreneur pourrait voir une occasion en or de prendre possession du circuit et de pouvoir y construire des immeubles, après la décontamination du sol ou dézonage, qui sait? Or, souhaitons-nous que cela ne soit pas le cas.
Conclusion
En somme, plusieurs situations peuvent arriver mais, pour l’instant le meilleur choix reste le promoteur Yan Bussières, avec l’épée de Damoclès qui pend au-dessus de sa tête, il doit tout de même se préparer pour l’année 2022. Avec lui, on reste sûr que l’autodrome Drummond va rester entre bonnes mains. On l’espère tous ! L’avenir nous le dira, espérons, ce serait merveilleux pour l’autodrome Drummond.