Crédit photo :Dominic Beaulieu (Crack-Shaft) Le retour de la chasse aux talents?
La tendance nous montre un retour encourageant des commandites majeures en stock-car au Québec.
Une nouvelle d’envergure fut annoncée samedi lors de la réunion des NASCAR Sportsman Lucas Oil. Jacques Sigouin nous a appris que Lucas Oil sera partenaire et commanditaire de la série pour les trois prochaines saisons. Ce que ça signifie, c’est que la série bénéficiera d’un support de classe mondiale pour offrir aux fans le meilleur spectacle possible. Ça assure la pérennité de la série dans le temps ainsi que son développement et celui des pilotes.
Crédit photo : Dominic Beaulieu (Crack-Shaft)
C’est majeur de voir une entreprise de cette envergure s’associer à une série locale pour plusieurs saisons consécutives. Oui ça démontre le sérieux de la série et augmente le niveau de professionnalisme, mais ça veut aussi dire que l’industrie automobile a trouvé un moyen de remettre de l’argent dans le stock-car, et ce même pour une série locale au Québec. Si on est prêt à s’impliquer pour encore plusieurs saisons, ça veut dire que notre sport retrouve la santé et oh que ça fait du bien à entendre. Peu importe ce qui se passe en ce moment, alors qu’on s’obstine sur différents forums et réseaux sociaux à propos de l’avenir d’une série ou des choix faits par certains circuits locaux, force est d’admettre que si on y met de l’argent, c’est qu’on y croit.
Ce qui rend également la collaboration entre l’ASE et Lucas Oil si spéciale est la chimie qu’on retrouve entre les deux parties. La série Sportsman se montre ambassadrice de Lucas Oil et ceux-ci se montrent ambassadeurs de la série. On y voit véritablement un partenariat, ce qui est en 2016/2017 la vraie façon de s’offrir une commandite majeure. C’est un exemple que les pilotes devraient prendre en note pour faciliter leurs recherches de financement. Pour reprendre les mots de M. Sigouin, les compagnies recherchent des partenaires, pas une voiture sur laquelle mettre un autocollant en échange d’argent.
Toujours dans la région de Montréal, c’est également chez Thérien Performance qu’on se montre prêt à investir dans le sport. Nous avons appris sur leur page Facebook vendredi qu’ils sont à la recherche de 5 équipes avec qui travailler à l’aube de la prochaine saison. Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu une compagnie chercher de nouveaux partenaires avec lesquels travailler. Les candidats de n’importe quelle discipline et de n’importe quel endroit au Québec sont invités à envoyer leur curriculum vitae et de se vendre pour saisir leur chance de faire partie de la famille. Aucune condition particulière n’a été mentionnée.
Est-ce que nous sommes en train de revivre ce que nous avons vécu dans les années ’90 alors que les commanditaires potentiels étaient à la recherche de talents? La situation est certainement différente, on cherche plus que du talent en piste et l’engouement du stock-car est loin d’être le même. N’en reste pas moins que la tendance est plus qu’encourageante. Espérons que d’autres noms majeurs de l’industrie emboîteront le pas de Lucas Oil et de Thérien Performance!
Crédit photo : Dominic Beaulieu (Crack-Shaft)
C’est majeur de voir une entreprise de cette envergure s’associer à une série locale pour plusieurs saisons consécutives. Oui ça démontre le sérieux de la série et augmente le niveau de professionnalisme, mais ça veut aussi dire que l’industrie automobile a trouvé un moyen de remettre de l’argent dans le stock-car, et ce même pour une série locale au Québec. Si on est prêt à s’impliquer pour encore plusieurs saisons, ça veut dire que notre sport retrouve la santé et oh que ça fait du bien à entendre. Peu importe ce qui se passe en ce moment, alors qu’on s’obstine sur différents forums et réseaux sociaux à propos de l’avenir d’une série ou des choix faits par certains circuits locaux, force est d’admettre que si on y met de l’argent, c’est qu’on y croit.
Ce qui rend également la collaboration entre l’ASE et Lucas Oil si spéciale est la chimie qu’on retrouve entre les deux parties. La série Sportsman se montre ambassadrice de Lucas Oil et ceux-ci se montrent ambassadeurs de la série. On y voit véritablement un partenariat, ce qui est en 2016/2017 la vraie façon de s’offrir une commandite majeure. C’est un exemple que les pilotes devraient prendre en note pour faciliter leurs recherches de financement. Pour reprendre les mots de M. Sigouin, les compagnies recherchent des partenaires, pas une voiture sur laquelle mettre un autocollant en échange d’argent.
Toujours dans la région de Montréal, c’est également chez Thérien Performance qu’on se montre prêt à investir dans le sport. Nous avons appris sur leur page Facebook vendredi qu’ils sont à la recherche de 5 équipes avec qui travailler à l’aube de la prochaine saison. Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu une compagnie chercher de nouveaux partenaires avec lesquels travailler. Les candidats de n’importe quelle discipline et de n’importe quel endroit au Québec sont invités à envoyer leur curriculum vitae et de se vendre pour saisir leur chance de faire partie de la famille. Aucune condition particulière n’a été mentionnée.
Est-ce que nous sommes en train de revivre ce que nous avons vécu dans les années ’90 alors que les commanditaires potentiels étaient à la recherche de talents? La situation est certainement différente, on cherche plus que du talent en piste et l’engouement du stock-car est loin d’être le même. N’en reste pas moins que la tendance est plus qu’encourageante. Espérons que d’autres noms majeurs de l’industrie emboîteront le pas de Lucas Oil et de Thérien Performance!